fermé(e) , adj.

fermé(e), adj. [non ouvert] : férmé ; (k')i fèrme ◊ Une bibliothèque fermée le dimanshe : in bibliotèk (k')i fèrme lœ dimansh/ férmé lœ dimansh.

fermé(e), 01 [entièrement clos ; dont les limites ne comportent aucune interruption, aucune ouverture] : férmé ; kashté ; také ; (an)baré (DECOI) ◊ Les alvéoles des polistes sont maintenant fermées. Astèr bann zalvéol/ bann kazié lœ nid d' guèpe lé kashté. ◊ Fermé au moyen d'une bascule. Baskülé.

fermé(e), 02 [où il est difficile de s’introduire ; clos] : k'i shoizi la tête ◊ C’est un milieu très fermé. ça inn kotri k'i shoizi la tête.

fermé(e), 03 [(fig.) – qui ne laisse rien transparaître ; peu expansif ; énigmatique ; impénétrable] : férmé ; inpassib [cf. angl., esp., haït., maur., port., seych.] ◊ Un visage fermé. In figuir fèrmé.

fermé(e), 04 [(fig.) – insensible, inaccessible à quelque chose, à un sentiment ; sourd, réfractaire] : boushé ◊ Il est complètement fermé aux nouvelles technologies. Po bann téknoloji nouvèl li lé boushé nèt. Po bann téknoloji nouvèl li lé dür à la konprœnür.